La Réunion - Le Port : une agglomération, un système portuaire et un territoire en mutations

Agglomération de 35 000 habitants au centre de la vaste conurbation St Denis - Le Port - St Paul, qui polarise 50 % de la population insulaire, 40 % de la croissance démographique, la moitié des emplois et les fonctions décisionnelles les plus stratégiques, la ville du Port doit faire face à de nombreux défis urbains, économiques et d’aménagement. A l’interface entre l’espace réunionnais et le système mondial, son port se modernise et cherche à trouver sa place sur les routes maritimes parcourant l’océan Indien. Face aux fortes contraintes naturelles et aux impacts du changement climatique, elle s’est engagée dans de nombreux travaux d’aménagement. Mais comme l’illustre la construction de la Nouvelle Route du Littoral entre Le Port et Saint-Denis, une des infrastructures les plus chères du monde au kilomètre privilégiant le tout-routier, la prise en compte d’un développement durable est encore loin de faire l’unanimité chez certains élus locaux ou régionaux.

la-reunion_20180130_phr_vfc.jpg

Légende de l’image

Cette image du Port, commune française du département d'outre-mer de La Réunion, a été prise le 30 janvier 2018 par un satellite Pleiades. Il s’agit d’une image en couleurs naturelles, de résolution native à 0,70m, ré-échantillonnée à 0,5m.

Ci-contre, la même image satelitte présente quelques repères géographiques de la région.

Accéder à l'image générale sans annotation

Contient des informations Pléiades © CNES 2018, Distribution Airbus DS, tous droits réservés. Usage commercial interdit.


Présentation de l’image globale

Le Port : une agglomération,
un système portuaire et un territoire en mutations

Une île structurée par de forts gradients d’urbanisation et d’organisation à toutes les échelles

L’image proposée dans ce dossier couvre l’agglomération du Port dans l’angle nord-ouest de l’île de la Réunion. D’une superficie de 2.504 km2 et peuplée de 862.000 habitants, cette île est située dans l’Océan indien, entre l’île Maurice et Madagascar, à près de 9.500 km de la métropole. Cette image souligne à elle seule les structures spatiales de l’organisation insulaire, des échelles locales à l’échelle régionale.

Aux échelles locales, les gradients d’occupation et de mise en valeur sont très contrastés. En effet, sur une large moitié Est se déploient les hautes terres, largement boisées et dans une moindre mesure agricoles, aux fortes contraintes (fortes pentes très ravinées) et assez peu peuplées. A l’opposé, la partie Ouest littorale est quasi-totalement urbanisée et très peuplée.   

A l’échelle régionale, l’image témoigne aussi des forts contrastes organisant l’ensemble de l’espace insulaire. Nous sommes ici en effet devant un site exceptionnel car il accueille un équipement stratégique, qui constitue avec l’aéroport Roland Garros (hors image), l’un des deux principaux liant l’espace insulaire au monde extérieur : le Grand Port Maritime de la Réunion. A partir de ce site portuaire se greffe une ville, le Port, qui constitue un des principaux pôles économiques de l’île avec son vaste potentiel industriel et commercial bien visible sur l’image.

Nous sommes donc ici sur un des pôles organisant la façade occidentale de l’île, la partie la plus peuplée et la plus dynamique de l’île face à la façade orientale, qui est plus largement exposée au risque cyclonique et qui demeure une périphérie en stagnation ou en difficulté même si le développement insulaire récent tend à estomper quelques peu ces différences structurelles majeures.

Pour autant, comme l’indique l’image, cette façade occidentale ne constitue pas un ensemble unifié. Au nord de l’image, la liaison terrestre avec Saint-Denis – la capitale politique et économique de l’île – se réduit à un très étroit cordon littoral du fait de fortes contraintes de site, la montagne tombant ici directement sur la mer. Tout au nord de l’image débute en effet la nouvelle route du littoral dont la modernisation est en cours avec la création d’une route sur pilotis gagnée sur la mer qui met celle-ci à l’abri des éboulements et glissements de terrain.        

Une forte polarisation démographique, économique et urbaine sur le littoral

Très nette sur l’image, la littoralisation des hommes et des activités symbolise le déséquilibre de l’île. A la Réunion, 80 % de la population est en effet regroupée sur une étroite bande de moins de 5 km de large à partir du rivage qui est, notamment, organisée par les grandes villes comme Saint-Denis, Le Port, Saint-Paul et Saint-Pierre.

Bien délimité par le tracé de la Nationale 1 qui traverse l’image du nord au sud, l’espace directement littoral est constitué par une plaine littoral basse. Peu large au sud, elle est plus ample au nord en montant vers la Pointe des Galets du fait du petit delta constitué par l’accumulation de matériaux détritiques arrachés à la montagne par la rivière des Galets.

Entre la plaine littorale à l’ouest et les hautes terres à l’est se déploie au centre de l’image une zone intermédiaire à « mi-pente » entre  150 et 400 mètres d’altitude, elle aussi très fortement peuplée et urbanisée. Dans cette zone en balcon, la densité de population s’élève à 550 habitants au km2, soit deux fois moins que sur le littoral. Comme en témoigne l’image, l’habitat individuel sous forme pavillonnaire y est largement dominant en accueillant 80 % des ménages. Socialement, cet espace intermédiaire présente deux caractéristiques majeures : le modèle du couple avec enfant(s) devient dominant avec 38 % des ménages, contre 30 % sur le littoral, et les ménages plus aisés y sont relativement plus nombreux. Ainsi, les cadres et les professions intermédiaires y sont plus souvent présents : ils y représentent 20 % des ménages, contre 16 % sur le littoral et 14 % dans les Hauts.

Enfin, à l’est de l’image, se déploient les « hauts » qui se déploient entre 400 mètres et les plus hautes altitudes du centre de l’île (cirques de Mafate, Salazie et Cilaos et le Piton des Neiges à 3.070 m au centre-nord, Piton de la Fournaise à 2 631 m au centre-sud). Comme l’illustre l’image, les densités moyennes de population y chutent fortement (120 habitants au km2). La proportion de natifs de l’île y est un peu plus importante qu’en moyenne (88 % contre 84 %), l’habitat est dominé par la maison individuelle (neuf logements sur dix) et les ménages sont plus souvent propriétaires de leur logement (64 % contre 43 % sur le littoral).

Une ville portuaire « bicéphale », entre ancien et nouveau port

À la Réunion, dont la structure est une des plus équilibrées des DROM, le pôle nord-ouest – organisé par la capitale Saint-Denis et s’étendant au Port et à Saint-Paul – joue un rôle moteur. La vaste conurbation St Denis - Le Port - St Paul  polarise en effet 50 % de la population totale, 40 % de la croissance démographique, la moitié des emplois et les fonctions décisionnelles les plus stratégiques.

Dans cet espace, Le Port, comme son nom l’indique, a été dés son origine, en 1895, associée aux activités du premier port de commerce de l’île, le port « de la Pointe des Galets » construit une dizaine d’années avant. Ce site portuaire, le seul de l’île, valorise en effet une pointe construite par le petit delta de la rivière.

Dés lors, la ville n’a cessé de croitre sur le plan démographique  avec  une population qui approche aujourd’hui les 35.000 habitants. L’image témoigne du développement démographique et économique de la ville avec une structure bicéphale. Au vieux port (zoom 1) situé à l’ouest mais saturé répond en 1986 la création d’un nouveau grand port plus à l’ouest (zoom 2). Ces grands sites, distants de 3 km, regroupent l’ensemble des activités et terminaux du Grand Port Maritime De la Réunion.

Pour ses promoteurs, le GPMDR doit devenir un carrefour des routes maritimes reliant l’Asie, l’Afrique, l’Europe, et l’Amérique du Sud et être une ouverture pour l’Europe au sein de l’océan Indien comme l’indique le slogan « l’esprit de l’Europe, le cœur de l’océan Indien ». Le nouveau projet volontariste du Grand Port Maritime de la Réunion pour la période 2019-2023 affirme vouloir « conserver toute l’ambition nécessaire au développement du port de l’île de la Réunion et contribuer au rayonnement de la France dans l’Océan Indien et se projeter à un horizon 2030 avec des objectifs faisant écho aux ambitions européennes pour ses régions ultrapériphériques, nationales pour ses outremer, régionales pour le développement du territoire et répondant aux grands défis de notre époque (…) tout en s’adaptant aux nouvelles formes de la mondialisation. »

Contraintes naturelles, impacts du changement climatique et développement durable

L’image témoigne des fortes contraintes du milieu naturel sur l’agglomération du Port. En effet, au nord, comme nous l’avons déjà souligné, la falaise tombant dans la mer complexifie la mise en place d’une conurbation entre St Denis et Le Port. Au sud, la rivière des Galets, comme la plupart des rivières de l’île, peut être le théâtre d’inondation et menacer les zones urbanisées qu'elle traverse (Zoom 3). De décembre à avril, le secteur peut être soumis à des cyclones qui peuvent engendrer des vents violents, de 100 à 200 km/h en moyenne avec des houles cycloniques et australes, des crues majeures au niveau des ravines et causer d’importants dégâts.

Selon les données de l'Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique, les régions ultramarines sont les territoires les plus concernés par l'exposition aux risques naturels : inondations, avalanches, tempêtes et cyclones, feux de forêt, mouvements de terrain. En effet, les territoires ultramarins présentent une exposition forte pour plus de 90 % de leur population contre 18,5 % des communes en France Métropolitaine.

Ces risques sont susceptibles de s'accroître avec le changement climatique, dans la mesure où certains événements et extrêmes météorologiques pourraient devenir à la Réunion plus fréquents, plus répandus et plus intenses. La prise en compte des différents aléas et l’adaptation des populations et des activités aux risques constituent des enjeux majeurs comme en témoignent les difficultés rencontrées dans l’élaboration puis le respect des Plan d’Exposition aux Risques (PER) par les différentes collectivités territoriales.


Zooms d'étude

Les Port Ouest et Est : la dynamique portuaire


Le système portuaire de la vile du Port est constitué par deux pôles historiquement bien différenciés et aux spécialisations sectorielles et fonctionnelles bien marquées.  


Le Port Ouest, « port historique »

Crée en 1886, ce port regroupe à la fois des activités commerciales, de plaisances et des services liés à l’activité de la pêche. Pour la première activité, il est possible d’identifier la présence d’un terminal sucrier en face du terminal bitumier et de déchargement de ciment et de gaz. Les deux darses, au centre duquel on trouve un espace de réparation navale, traduisent plutôt les activités de plaisance. La gestion en a été concédée à la Régie de communauté d’agglomération des Territoires de la Côte Ouest – TCO, qui couvre les cinq communes de la Possession, le Port, Saint-Paul, Trois-Bassins et Saint-Leu en 2016. Enfin, les services liés à l’activité de pêche se traduisent par la présence d’un bâtiment logistique, à proximité de l’espace de réparation navale et de l’autre côté, on trouve un espace dédié aux chalutiers pour la pêche hauturière.


Le Port Est, le « port moderne »

Inauguré en 1986, ce nouveau port regroupe principalement des activités commerciales et logistiques avec des aménagements spécifiques. Le terminal à conteneurs de 19 hectares, disposant de 640 m linéaire de quai, peut accueillir des navires d’une capacité de 10.000 EVP. En face, le terminal conventionnel, avec la gare maritime, accueille  tout au long de l’année deux types de croisiéristes : les passagers des croisières internationales et les passagers du trafic inter-îles de l’océan Indien. On trouve enfin des terminaux à hydrocarbures-charbonnier et une zone d’activité à l’arrière du port.

Grand Port Maritime de la Réunion. Les deux ports, Grand Port Maritime de la Réunion, « véritable port européen au cœur de l’océan Indien » est une « double » infrastructure majeure pour le développement, l’approvisionnement et le rayonnement de l’île. La plurifonctionnalité de ces deux ports a permis « d’être le seul port de commerce de l’île, lieu de transit de plus de 99 % des marchandises importées ou exportées à la Réunion, 1erport de l’Outre-mer, 2ème  port des Régions ultrapériphériques européennes, 3ème base navale française et 4ème port à conteneurs français ».

Le nouveau projet stratégique du GPMDR pour la période 2019-2023  a pour objectif, selon les documents produits,  de renforcer cette dynamique autour de deux axes, l’un qui renforce son rayonnement « pour positionner Port Réunion comme un hub innovant de transbordement régional, en renforçant la compétitivité et la fiabilité des infrastructures » et l’autre qui tend vers un port responsable « pour positionner Port Réunion comme un acteur stratégique et moteur du développement durable dans l’Océan Indien, en se dotant d’une très forte exigence environnementale et sociétale ».

Vers un déséquilibre…

Le port à l’ouest fut le poumon économique jusqu’aux années 196o. Mais, la concurrence du transport aérien a mis à mal cette hégémonie. En effet, ce port n’était plus le seul point d’entrée de la ville - de l’ile - et les principaux axes de communication la contournaient. Une nouvelle logique s’imposait avec la création en 1986 d’un nouveau port, à l’est, pour répondre aux défis du XX siècle.

Mais, cette logique n’était pas sans conséquence sur l’équilibre de la ville puisque un glissement du poumon économique s’opérait de l’ouest vers l’est. Ainsi, le plan local d’urbanisme a eu pour objectif de redéfinir un équilibre à partir d’une politique d’aménagement à différentes échelles : de la ville à l’unité urbaine agglomérant les communes de Saint Paul et de la Possession ; d’une approche relevant du développement durable. Trois axes ont été choisis pour développer cette politique : une ville traversant renouant entre l’océan et le cœur habité ; une ville économique réaffirmant son rôle portuaire et industriel de premier rang ; une ville résidente et verte veillant à l’excellence de son cadre de vie.




Mobilités, vulnérabilité et aménagements

Le boom des mobilités et la question des nouvelles infrastructures

Le boom généralisé des mobilités, combiné au rôle quasi exclusif de l’automobile et à un sous-investissement criant dans les transports collectifs, qui ne représentent dans l’île que 5 % des déplacements, se traduit par un phénomène de saturation des grands axes routiers qui desservent les zones littorales fortement urbanisées et les grandes villes. Ainsi, de nouveaux aménagements ont été réalisés ou sont en cours d’aménagements.

Pour développer les axes de communications entre Saint Denis- Le Port - Saint Paul, il a fallu répondre à une problématique, celle de la rivière des Galets (Zoom 3) qui prend naissance dans le cirque de Mafate. Elle était traversée par deux ponts, l’un en béton et l’autre un ouvrage métallique. L’un des ponts, construit dans les années 1950, subissait les effets du temps et risquait de ne pas résister à un événement météorologique violent tel qu’un cyclone, éléments qui réduisaient ces fonctions. De plus, l’augmentation du trafic - 70 000 véhicules empruntaient cette route quotidiennement  - provoquait l’apparition d’un goulet d’étranglement.

L’autre problématique, au nord de l’image, était provoquée par la falaise tombant dans la mer qui rendait difficile du fait d’éboulements réguliers le trafic entre St Denis et Le Port. Il a fallu là encore prévoir un nouvel aménagement afin de favoriser ce boom des mobilités.

La Nouvelle Route du Littoral, une des infrastructures les plus chères du monde au kilomètre

Ainsi, les élus qui proposaient un projet novateur de tram-train pour relier Le Port, poumon économique de l’île, à Saint-Denis – un axe littoral déjà doté d’une quatre-voies saturées et menacées par les éboulements des falaises – ont été battus électoralement au profit d’une nouvelle équipe prônant le tout automobile et donc la construction d’une Nouvelle Route du Littoral (NRL), peu visible sur l’image.

Lancée en 2015, elle est construite sur pilotis sur la mer par le groupe Vinci grâce en particulier à des rochers importés par barges de… Madagascar. L’ensemble des investissements réalisés en fait la route la plus chère du monde avec un coût total de 1,66 milliard d’euros pour 12,5 km, soit 133 millions d’euros au kilomètre. Il y avait sans doute beaucoup mieux à faire avec cet énorme investissement. En tout état de cause, certaines trajectoires territoriales sont étroitement dépendantes des capacités de leurs élites à construire des projets novateurs.

Le projet de nouveau pont de la rivière des Galets

D’autre part, le projet de nouveau pont de la rivière des Galets - de 430 mètres de long, avec trois voies dans chaque sens, complété par un axe dit de mode doux, piéton, deux roues côtés mer de plus de 3 mètres de large - prévoyait de répondre aussi à un contexte naturel particulier.

En effet, la rivière des Galets, comme la plupart des rivières de l’île, peut être le théâtre d’inondations et menacer les zones urbanisées qu'elle traverse. C’est en effet comme le montre bien la structure du lit majeur sur l’image une des rivières les puissantes de l’île de la Réunion avec des débits pouvant atteindre plusieurs milliers de m3/s, un écoulement de type torrentiel et des vitesses en crue pouvant dépasser 10m/s, conférant ainsi à la rivière une capacité érosive hors du commun.

Pour apporter des réponses aux risques d’inondations, des aménagements sur la rivière, entre les communes du Port et de Saint Paul, ont été réalisés dans les années 1990 prenant la forme de digues en épi sur la rive droite en amont prolongée par un canal endigué de 1.800 m jusqu'au delta en aval. Mais, le GEMAPI - l’organisme de Gestion des Milieux Aquatiques et de Prévention des Inondations confié à la Communauté d’agglomération des territoires de Côte-Ouest et regroupant les villes de la Possession, Saint Paul, les Trois Bassins et Saint Leu - constate en reprenant les rapports d’experts qu’en période de crue, la rivière se caractérise par des conditions d’écoulements intenses qui lui donnent une capacité érosive hors du commun sur les édifices existants, notamment lors des périodes cycloniques comme Gamède en 2007.

Cet organisme a donc développé un programme d’actions et de prévention des inondations sur la zone de la rivière des galets, le projet PAPI. Ainsi, les édifices déjà existants devaient être consolidés et repensés car l’endiguement y était soumis à des sollicitations à la fois répétitives mais également aléatoires en fonction des années et les berges d’une vingtaine de mètres de haut, protégées par des enrochements bétonnés, ont été attaquées en pied.

Des nouveaux aménagements ont donc été réalisés afin d’améliorer la sûreté de ces digues de protection, prolongement de la carapace existante. Ce n’est pas moins de 2.000 blocs de béton en forme de cube qui sont répartis sur un tronçon de 260 m en rive droite  et un tronçon de 415 m en rive gauche, et reliés entre eux par des câbles afin de ralentir et mieux gérer l'écoulement de l'eau.  

D’autres ressources

INSEE. Un dossier de synthèse démographique, sociale et économique

INSEE. Un dossier Un réunionnais sur quatre vit sur les « hauts ».

INSSE. Données statistiques de l’Insee sur la ville Le port.

Site de la Ville Le port.

Plan interactif du Port

Grand Port Maritime De la Réunion : « Le GPMDLR »

Le Projet stratégique 2019-2023 du GPMDLR évaluation environnementale

Site sur les risques naturels à la Réunion.

Plan d’exposition aux risques PER de la commune du Port

Une carte la zone de la ville du Port.

Un site Vigicrues Réunion. Service d'information sur le risque de crues des principaux cours d'eau à La Réunion

Un site du GEMAPI (gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations).

Un site sur la Nouvelle Route du Littoral

Un article sur le renforcement de l’endiguement de la rivière des Galets.

Contributeurs

Nicolas Brunel, professeur Lettres Histoire, Lycée métiers d’art, du bois et de l’ameublement de Revel.

Cible/Demande de publication: